
Photo : ONU/Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, en conversation en ligne avec un ancien réfugié syrien, le cardiologue Docteur Heval Kelli.
Le COVID-19 continue de détruire des vies et d’avoir un effet dévastateur sur les moyens d’existence partout sur la planète, en frappant le plus durement les plus vulnérables. Tel est le cas en particulier pour les millions de personnes en situation de déplacement – comme les réfugiés et les déplacés internes, contraints de fuir leur foyer en raison de la violence ou d’une catastrophe, ou les migrants en situation précaire. Elles font face maintenant à trois crises confondues en une seule. Tout d’abord, une crise sanitaire, dès lors qu’elles sont exposées au virus, notamment lorsqu’elles vivent ou travaillent dans des lieux où la distanciation physique est un luxe que l’on ne peut se permettre, et que les services et les produits de base, comme les soins médicaux, l’eau, l’assainissement et l’alimentation, sont difficiles d’accès. La situation est encore plus dramatique pour les nombreuses personnes en déplacement qui vivent dans les pays les moins développés. Un tiers des déplacés recensés dans le monde vit dans les 10 pays les plus exposés au risque du COVID-19. للغة العربية، أنقر هنا Continuer la lecture